Il y a des situations qui nous oblige à rappeler certains faits et à apporter certains enseignements afin d’aider à fabriquer un Guinéen nouveau : Ce Guinéen sérieux, travailleur, serviable, respectueux des lois et préoccupé à bâtir une nation prospère.
Cela dit, quel parent ne souhaiterait pas voir son enfant devenir premier à l’école. Qui ne voudrait pas être meilleur dans tout ce qu’il entreprend. Quelle est cette entreprise qui ne voudrait pas être première dans son secteur ? Pourquoi organise-t-on des concours pour récompenser les meilleurs ? Quel est ce gouvernant qui ne souhaiterait pas voir son pays être cité premier en terme de réussite ou de développement dans tel ou tel domaine ? Quel est cet homme politique qui ne crée pas son parti dans l’objectif d’être premier aux élections, être élu et appliquer son programme ? C’est cela avoir la culture du mérite, de la compétition, du travail et de la compétence, sans lesquelles aucune nation ne peut grandir et prospérer, même étant un scandale géologique ou un château d’eau. Voici des valeurs qu’on aurait du enseigner aux Guinéens durant ces longues années de traversées de désert marquées par la démagogie et la médiocrité. Mais, on ne peut comprendre cela que lorsqu’on a la vocation d’un leader et prêt à servir loyalement son peuple. Cela relève d’une autre dimension !
Par contre quand on est réduit au service des intérêts égoïstes et individuels, servir uniquement des hommes et non des principes, on ne peut les comprendre. Ce qui est malheureux pour notre fameux Farba #pé_Tibou Kamara. Caractère qu’il ne peut s’en défaire et qui lui colle à la peau, même promis à des hautes fonctions d’Etat. De la fin du régime Conté à Alpha Condé en passant par celui de Dadis et Konaté, où il a toujours poignardé le précèdent pour le suivant, en est l’illustration parfaite. Pourquoi pas demain ne pas vouloir se retrouver auprès de Sidya Touré Président ? Mais que bon Dieu nous préserve de cette satané destinée dont lui seul a le secret d’adaptation. Dites : Amen !
Le mal hante toujours le coupable, telle la victime d’un crime non élucidé hante son exécuteur. C’est pourquoi, le rôle joué par Tibou Kamara en 2010 (au 1er tour/présidentielle) dans la falsification des résultats, empêchant Sidya Touré d’être à la tête de ce pays continue à le hanter et à le traumatiser. Il est même tombé dans la Sidyaphobie ! La sanction du péché commis contre la nation guinéenne l’inquiète. Les cris de malheur des guinéens tués, emprisonnés, violentés, violés dans leurs droits lors des manifestions légitimes, des guinéens misérables souffrants de la mal gouvernance de ce régime depuis cette forfaiture l’empêchent d’avoir un sommeil tranquille. Le tribunal de la conscience étant la plus sévère. C’est cet homme victime de troubles psychiques qui ne cesse de se convaincre même en plein sommeil sur saute ‘’Sidya restera second’’, comme pour apaiser sa conscience. Serait-il celui qui gère l’agenda du bon Dieu ? Des propos qui ne relèvent que de la bêtise humaine, exercice dans lequel il se plait apparemment. C’est nul autre que la crainte du retour du bâton !
Tibou ne devrait-il pas fermer sa bouche pour une fois, ou l’ouvrir pour une dernière fois, faire son mea-culpa et demander pardon au peuple de Guinée ? Alors que plus il parle, plus il donne l’occasion de dépeindre sa minuscule personne et ses limites. C’est dramatique qu’un tel individu soit amener à porter la parole d’un gouvernement alors qu’il est émotionnellement instable et ne professe que des mensonges grotesques. Mais Alpha Condé en a décidé ainsi pour ce pays ; rabaisser les hautes fonctions de l’Etat, agenouiller la République et renverser la pyramide sociale, si cela lui permet d’assouvir sa haine contre Sidya Touré, Président de l’UFR
La Médiocrité est notre ennemi
La Guinée mérite mieux
Ahmed Tidiane Sylla